27. März 2017 Deutschland. Qualitativ hochwertig und langlebig – das verbinden viele Menschen auf der ganzen Welt mit Produkten, die das Label „Made in Germany“ ziert. Ursprünglich sollte der seit 130 Jahren bestehende Hinweis vor billigen Plagiaten aus Deutschland warnen: Messerhersteller im englischen Sheffield beklagten sich damals über minderwertige Kopien ihrer Produkte aus Deutschland – so entstand das Label, das sich aber innerhalb kürzester Zeit in ein Qualitätssigel verwandelte. Beliebtestes Label der WeltHeute sind Produkte „Made in Germany“ weltweit für ihre hohe Wertigkeit bekannt. Und mehr noch: „Made in Germany“ ist sogar das beliebteste Label der Welt. Das ergab der Made-in-Country-Index, eine Studie des Statistikportals Statista in Zusammenarbeit mit dem Marktforschungsunternehmen Dalia Research. Rund 43.000 Verbraucher in 52 Ländern wurden dafür um ihre Meinung gebeten. Auf Platz zwei und drei folgen „Made in Switzerland“ und „Made in EU“. Die Labels aus Großbritannien, Schweden, Kanada, Italien, Japan, Frankreich und den USA belegen die nächsten Plätze. Deutschland punktet aus Sicht der Befragten vor allem in den Kategorien „Qualität“ und „Sicherheit“; Produkte aus der Schweiz überzeugen demnach in den Bereichen „Statussymbol“ und „Authentizität“. Quelle: Made-in-Country-Index; Übersetzung: FSM „Made in Germany“ weltweit auf Platz 1 https://www.deutschland.de/de/topic/wirtschaft/marken-maerkte/das-label-made-in-germany
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17 janv. 2017 Berlin est une ville trépidante, créative et ultra-branchée. On y lance les tendances et, deux fois par an, la capitale allemande devient le podium international de la mode et du style. Du 17 au 19 janvier 2017, 200 000 visiteurs professionnels venus principalement d’Europe, notamment de l’Est, et d’Asie sont attendus sur les bords de la Spree à l’occasion de la Berlin Fashion Week. Avec Paris, Milan ou New York, Berlin fait depuis longtemps partie du top 5 des métropoles de la mode dans le monde. Dès le début du XIXesiècle, le milieu berlinois de la mode s’affichait tout autour de la Hausvogteiplatz, dans le quartier Mitte. Le « chic berlinois », ce style des années 1920 resté légendaire, y est né il y a près d’un siècle. Depuis la chute du Mur en 1989, le monde berlinois de la mode, ouvert et électrisant, attire les créateurs et les stylistes. Avec quelque 2 500 entreprises et 22 800 salariés, la densité des entreprises de mode est plus grande à Berlin que partout ailleurs en Allemagne. Leur chiffre d’affaires a augmenté de 117 % entre 2009 et 2013 pour atteindre quelque 3,8 milliards d’euro. Dernière tendance : la mode verte et high-tech Lors de cette édition, la Berlin Fashion Week et ses 70 défilés mettent la mode durable à l’honneur. La « mode verte » (green fashion) et le « surcyclage » (upcycling), c’est-à-dire la confection de nouvelles créations à partir de vêtements usagés, connaissent un succès grandissant. Les salons spécialisés Greenshowroom et Ethical Fashion Show présentent par exemple exclusivement des produits conçus de manière durable et écologique. Un nombre croissant de marques berlinoises, dont Schmidttakahashi, Ica Watermelon et Ewa Herzog, intègrent ainsi des normes environnementales dans leur production. Le label edelziege de Saruul Fischer, styliste d’origine mongole, s’expose également au Greenshowroom : edelziege associe le cachemire mongol à la dentelle de Plauen, faisant ainsi sensation à la Fashion Week depuis quelques années. L’industrie de la mode se demande aussi comment combiner vêtements et haute technologie. Certaines marques ont créé des tenues capables de mesurer la tension artérielle ou dotées d’éclairages qui se déclenchent quand on roule à vélo. D’autres font un usage plus visuel du progrès technologique, par exemple en utilisant des câbles en fibres de verre pour orner un foulard ou former l’ourlet d’une veste. La Fashiontech Berlin est toute entière consacrée à l’« informatique vestimentaire » (wearable IT). Reste à savoir ce que l’on portera réellement au quotidien à l’automne et l’hiver prochains dans les rues de nos villes. Le moment phare de la Berlin Fashion Week est la Mercedes-Benz Fashion Week Berlin avec ses défilés de stylistes de renommée internationale, dont beaucoup sont traditionnellement berlinois. On pourra par exemple y découvrir la nouvelle collection de la créatrice germano-iranienne Leyla Piedayesh, sous sa marque Lala Berlin. Le styliste bulgare ladimir Karaleev, qui a créé sa marque éponyme à Berlin, fera lui aussi défiler ses créations sobres, souvent unies et qui, de l’aveu même du créateur, s’inspirent de l’art contemporain et de l’architecture fonctionnelle. La Berlin Fashion Week du 17 au 19 janvier 2017 : http://www.fashion-week-berlin.com 17 janv. 2017 Il y a quelques années, le film La vie des autres a donné un aperçu du climat de soupçon et d’oppression généralisé qu’elle faisait régner. Surveillance, fichage, intimidations, emprisonnement : le ministère de la Sécurité d’État de la RDA – la « Stasi » - reste de sinistre mémoire. Il aura même fallu une mobilisation des citoyens est-allemands pour précipiter sa fin après la chute du mur. C’était il y a 27 ans, le 15 janvier 1990. Deux mois après le début de la Révolution pacifique en RDA, la police secrète du régime, qui a senti passer le boulet de l’Histoire, s’emploie à broyer ses fiches. Elle y a consigné les millions d’informations collectées année après année en espionnant la population. Récemment, des citoyens est-allemands en colère ont occupé ses locaux à Erfurt et à Leipzig pour stopper cette tentative d’effacer ses crimes. Mais rien n’y fait. Au siège de la Stasi, à Berlin-Lichtenberg, le broyage continue. A Berlin, quelque 2 000 manifestants sortent alors de leur réserve. À l’appel du mouvement citoyen « Neues Forum », ils se réunissent devant le siège de la Stasi, dans la Normannenstraße, vers la fin de l’après-midi. Ils ont l’intention de murer le bâtiment pour forcer la dissolution de la police secrète de RDA. Mais finalement, les portes s’ouvrent. Les manifestants s’engouffrent alors dans la cour, puis envahissent les couloirs avant de laisser libre cours à leur colère. Les vitres volent. Papier, chaises et tables sont balancées à travers les fenêtres. Surveillance généralisée Paradoxalement, c’est au même moment, le gouvernement de la RDA rend public pour la première fois l’ampleur des activités de sa police secrète. La Stasi, apprend-on, emploie en cette fin des années 1980 quelque 85 000 collaborateurs, auxquels s’ajoutent 109 000 « collaborateurs non officiels ». Des espions disséminés dans la population – peut-être votre frère ou votre voisin.La nouvelle de l’assaut de la Normannenstraße interrompt la réunion. Le chef du gouvernement est-allemand, Hans Modrow, se rend sur les lieux suivi de ses ministres. Leur appel au calme est attendu. Mais pour la Stasi, l’heure de la dissolution a enfin sonné. Une semaine après ces événements, il est décidé de transformer le bâtiment de la Normannenstraße en un centre de mémoire et de recherche sur le stalinisme en RDA. L’inauguration a lieu le 7 novembre 1990, un mois après la Réunification. Aujourd’hui, ce musée se visite toujours. Il accueille 80 000 visiteurs par an, et vient d’ouvrir une nouvelle exposition permanente, « la sécurité d’État dans la dictature du SED ». Elle explique le régime de surveillance permanente organisé par la Stasi et rappelle aux contemporains ce que cela signifie que de vivre sous une dictature. http://www.allemagne.diplo.de/Vertretung/frankreich/fr/__pr/nq/2017-01/2017-01-17-revolution-pacifique-stasi-pm.html Am Ende wurde es noch mal knapp, aber Nico Rosberg hat die WM-Führung in Abu Dhabi ins Ziel gerettet. Und das, obwohl Lewis Hamilton alle seine Trickser-Qualitäten auspackte. Alles Wichtige zum letzten Grand Prix des Jahres. Von Peter Ahrens Ausgangslage des Rennens: Deutlich wie nie. Wenn Nico Rosberg Dritter wird, dann ist er Weltmeister. Dann kann passieren, was will. Vor dem Rennen wurde die Nationalhymne der Vereinigten Arabischen Emirate intoniert. "Gott hat dich vor den Bösen in allen Zeiten geschützt", heißt es darin. Von Max Verstappen drohte also auch kein Unheil. Dass Rosbergs Feind, nein, Rivale, Lewis Hamilton das Rennen gewinnen würde, war eh von vornherein klar. Ergebnis des Rennens: Nico Rosberg ist Weltmeister. Der zweite Rang hinter, logisch, Lewis Hamilton hat ihm gereicht. Sebastian Vettel wird Dritter. Startaufstellung des Rennens: Rosberg geht von Position zwei hinter, logisch, Lewis Hamilton ins Rennen. Dahinter lauern Vettel, Kimi Räikkönen und Verstappen. 55 Runden warten auf die Fahrer. Die meiste Zeit davon im Vollgastempo, erst am Ende der Strecke warten die Kurven. Startphase des Rennens: Rosberg hält seinen zweiten Platz hinter, logisch, Lewis Hamilton. Verstappen macht seinem Ruf als Runden-Rowdy alle Ehre, dreht sich schon in der ersten Kurve, nachdem er auf Nico Hülkenberg aufgefahren ist, und darf das Rennen von ganz hinten aufnehmen. Aber eine wilde Aufholjagd ist ja ganz im Sinne von Verstappen. Zaungäste des Rennens: Promifaktor: hoch. Roger Federer ist da, Rihanna singt, und im Ferrari-Lager sitzt eine Frau, die die Älteren unter den Fernsehzuschauern vielleicht noch erkannt haben. Und deren Anblick allenthalben Begeisterung auslöst. Der Rennverlauf: Ganz vorne, logisch, Lewis Hamilton. Der Brite gibt seinen Gewinnerplatz nur für die Boxenstops kurz her, dann ist auch mal Rosberg vorne, der ansonsten bis auf eine kurze Phase als Dritter seinen wichtigen zweiten Rang hält. Hamilton da vorne trickst, er fährt in der zweiten Rennhälfte langsamer, als man das von ihm gewohnt ist, ignoriert die Anweisungen seiner Crew, das Tempo zu erhöhen. Klar, er will das Feld enger zusammenschieben, damit von hinten andere Fahrer Rosberg noch überholen. Vettel und der nach vorn gekommene Verstappen hängen zum Schluss zwar an dem Deutschen dran, aber überholen können sie ihn nicht mehr. Rosberg schleicht zum Titel. Duell des Rennens: Ist das Duell des Jahres. Hamilton gegen Rosberg, beide Mercedes-Teamkollegen, die sich anders als Uli Hoeneß nachträglich nie dafür entschuldigen würden, wenn sie sich gegenseitig als Feind bezeichnen. Hamilton war in den letzten Rennen des Jahres besser, aber das war im Vorjahr bei Rosberg anders herum. Alles gleicht sich aus. Schurke des Rennens: Na ja, Schurke ist übertrieben. Aber wie Hamilton versuchte, das Tempo herauszunehmen, das war schon listig. Der Job von Rennfahrern sollte eigentlich lauten, möglich schnell zu sein. Was an den alten Witz erinnert, in dem das kleine Kind sagt: "Ich will später Rennfahrer werden." Und als die Mutter antwortet, das sei doch gefährlich, sagt der Kleine: "Ach, Mama, ich fahre ja langsam." So kann man Vizeweltmeister werden. Held des Rennens: Natürlich Rosberg. Der dritte deutsche Weltmeister nach Michael Schumacher und Sebastian Vettel. Da angekommen, wo sein finnischer Vater Keke 1982 schon mal war - damals, als noch Niki Lauda und Carlos Reutemann fuhren, René Arnoux, John Watson und Didier Pironi. Der Senior wurde Weltmeister, obwohl er nur ein einziges Rennen gewann. Da ist ihm sein Sohn einiges voraus. Abschied des Rennens: Nach 14 Runden war die Formel-1-Karriere von Jenson Button nach 17 Jahren zu Ende. Das rechte Vorderrad wollte nicht mehr. Der Weltmeister von 2009 nahm seinen Abschied wie ein Champion: "Jetzt gönne ich mir ein kaltes Bier." Ein Satz für die Ewigkeit. Zitat des Rennens: "In Monaco bin ich bekannt als die goldene Eizelle." Mutter Sina Rosberg nach dem Rennen. Wir lassen dies mal besser gänzlich unkommentiert so stehen. Erkenntnis des Rennens: Nico Rosberg mag in der Öffentlichkeit als einer ohne Ecken und Kanten erscheinen, die "Zeit" nannte ihn "das Wohlstandskind", aber den Titel hat er verdient. Für sein Bubigesicht kann er nichts. Rosberg ist ein würdiger Weltmeister. http://www.spiegel.de/sport/formel1/nico-rosberg-in-abu-dhabi-im-schneckentempo-zum-formel-1-titel-a-1123298.html Flüchtlinge, Fake-News, Union, Koalition: Bevor die Kanzlerin wieder Kanzlerin werden kann, muss sie eine Reihe herkulischer Aufgaben meistern.
Von Christoph Herwartz 21. November 2016, 11:58 Uhr Barack Obama sieht Politik als einen Staffellauf: Die Aufgabe von demokratisch gewählten Politikern sei es, einen Vorsprung herauszulaufen und dann den Stab weiterzureichen, sagt er. Die Verantwortung für die USA muss er bald Donald Trump überlassen. Die Verantwortung für die Gemeinschaft der westlichen Demokratien hat er in der vergangenen Woche feierlich Angela Merkel übergeben. Merkel hat sich dazu entschlossen, diese Aufgabe anzunehmen, auch wenn sie den Eindruck von sich weist, sie sei jetzt die Retterin der freien Welt. Sie will Deutschland weiter führen und sie will die Lücke füllen, die durch die Schwächung der USA entsteht. Damit Merkel den Staffelstab weitertragen kann, muss sie die Bundestagswahl 2017 gewinnen. Im Ausland werden das viele für eine Formalie halten. Denn Deutschland unter Angela Merkel ist mal geliebt, mal verhasst, aber vor allem erfolgreich und mächtig. Die Kanzlerin steht für Konstanz in Europa: für ein Griechenland innerhalb der Eurozone, für einen Donbass innerhalb der Ukraine, für einen Zusammenhalt der EU. Kaum vorstellbar, dass sie diese Aufgaben meisterte, ihr in Deutschland aber ihr Amt entgleitet. Die Wahl 2013 gewann Merkel mit dem schlichten Versprechen, die Bürger nicht zu sehr mit den Umwälzungen der Globalisierung zu belasten. Dieses Versprechen hat sie nicht gehalten. Die Globalisierung haben die Deutschen wie kein anderes Volk gespürt, durch die Ankunft von fast einer Million Flüchtlingen, und die Verantwortung dafür trägt Merkel. Die erste Aufgabe, die nun vor ihr liegt, ist darum diese: Sie muss glaubhaft machen, dass nie wieder so viele Flüchtlinge kommen werden wie 2015, wie es die CDU in ihrem neuen Leitantrag verspricht, und dass sie das Land nicht überfordern. Das kann sie erreichen, indem sie entweder für eine größere Aufnahmebereitschaft wirbt, was allerdings die AfD erstarken lassen dürfte. Oder indem sie in Zusammenarbeit mit der Türkei und anderen Mittelmeer-Anrainern die Flüchtlingsrouten nach Europa erschwert. Zweites scheint derzeit einigermaßen zu funktionieren, allerdings zu hohen politischen Kosten: Deutschland kooperiert mit einem türkischen Regime, das von Jahr zu Jahr autoritärer agiert, und es sieht dem Sterben auf dem Mittelmeer zu, wo 2016 schon bis Oktober mehr Flüchtlinge umkamen als im ganzen Jahr 2015. Die zweite Aufgabe wird es sein, die Union hinter sich zu vereinen. Zweifel an Merkel gibt es seit über einem Jahr, seit der Flüchtlingskrise, bislang hat sich in der CDU allerdings niemand gefunden, der sich offen gegen Merkel gestellt hätte. Nun wäre es dafür reichlich spät. In der Natur der CDU liegt es, sich geschlossen hinter ihre Vorsitzende zu stellen, selbst wenn es Bedenken gegen sie gibt, erst recht wenn sie seit elf Jahren erfolgreich regiert und der Partei schon drei Wahlsiege beschert hat und ein Wahlkampf bevorsteht. Für die CSU gilt das allerdings nur bedingt, was weniger am Parteivorsitzenden Horst Seehofer liegt, als an seiner geschwächten Position. Seehofer kann Merkel monatelang unter Druck setzen, dann aber wieder für sie kämpfen. Aber gilt das auch für seine Partei? In der CSU läuft ein Machtkampf. Seehofers Rivale Markus Söder möchte den Parteichef verdrängen und er macht das, indem er noch rechtere Positionen bezieht. Söder reagierte deshalb auch sehr kühl auf Merkels Ankündigung, wieder anzutreten. Mit ihm wird eine blinde Merkel-Gefolgschaft nicht zu machen sein. Die CSU will deshalb auch erst im ersten Quartal entscheiden, ob sie Merkel als Kanzlerkandidatin unterstützt. Da wird sie noch Überzeugungsarbeit leisten müssen. Sodann braucht Merkel, dritte Aufgabe, ein Wahlkampfthema, das sowohl die AfD als auch die SPD auf Distanz hält. An der Stärke der AfD wird bemessen werden, ob Deutschland wie so viele andere Staaten dem Sog des Populismus erlegen ist, oder ob Merkel gar als Bollwerk gegen diesen Sog in die Geschichte eingeht. Ganz schlicht geht es aber auch darum, wie viele Stimmen die AfD der Union wegnimmt. Die Stärke der SPD ist wiederum entscheidend für die Frage, wer nach der Wahl die besseren Koalitionsmöglichkeiten hat. Bekämen SPD, Linke und Grüne wieder zusammen eine Mehrheit im Bundestag, könnten die Sozialdemokraten in die Versuchung kommen, eine rot-rot-grüne Koalition zu bilden, um den Kanzler zu stellen. Die CDU wird also erstmals von beiden Seiten angegriffen: von links und von rechts. Was könnte aber ein Gewinnerthema für die Union sein? Ein solches Thema müsste an die Mitte der Gesellschaft gerichtet sein, es müsste ausreichend emotionalisierbar sein und es sollte trotzdem nicht jene abschrecken, die Merkel für ihre Haltung in der Flüchtlingsfrage achten. Mit Innerer Sicherheit, der Sicherung von Arbeitsplätzen und sozialer Absicherung allein wird das nicht zu machen sein. Falschen Gerüchten entgegenwirkenDie vierte Aufgabe wird es sein, falschen Gerüchten etwas entgegenzusetzen. Im US-Wahlkampf war zu beobachten, wie erfundene Nachrichten hunderttausendfach geteilt wurden. Der Papst habe sich für Donald Trump ausgesprochen und Hillary Clinton habe Waffen an den sogenannten "Islamischen Staat" verkauft, hieß es dort. Einige der größten Facebook-Seiten, die diese Lügen verbreiteten, entstanden mitten im Wahlkampf aus dem Nichts und gewannen innerhalb von Wochen relevanten Einfluss. Auch bei der Brexit-Abstimmung in Großbritannien schafften es falsche Behauptungen als mit der Wahrheit gleichwertige Argumente in die Debatte. Deutschland ist gegen solche Effekte nicht immun. Man erinnere sich nur an den Fall eines angeblich vergewaltigten deutsch-russischen Mädchens, der wochenlang für Unruhe sorgte. Wie man unter diesen Bedingungen Wahlkampf machen soll, ist nicht geklärt. Eine weitere Rahmenbedingung ist die direkte Einmischung Russlands in Wahlkämpfe westlicher Staaten. Sich darauf vorzubereiten ist Aufgabe fünf. Glaubt man den US-Geheimdiensten, so waren es mit dem Kreml in Kontakt stehende Gruppen, die per Hackerangriff E-Mails aus der Spitze der Demokratischen Partei ausspähten, sie an WikiLeaks weitergaben und damit die Stellung Hillary Clintons schwächten. Eine der Gruppen soll dieselbe sein, die im Sommer 2015 in das System des Bundestags eindrang. Neben solchen Cyberangriffen nimmt Russland auch über die Förderung von Parteien Einfluss auf europäische Wahlkämpfe. Die sechste Aufgabe, nach einer erfolgreichen Wahl einen Koalitionspartner zu finden, wirkt im Vergleich dazu überschaubar. Dass es für ein klassisches schwarz-gelbes Bündnis reicht, ist unwahrscheinlich. Eher muss Merkel daran arbeiten, die Interessen der CSU mit denen der Grünen zu vereinen, vielleicht sogar zusätzlich die von FDP und Grünen, für ein Jamaikabündnis. Anderenfalls müsste sie ein neues Bündnis mit der SPD schmieden, was Merkel mittelfristig recht sein dürfte. Allerdings würde eine dritte große Koalition innerhalb von vier Legislaturperioden ein fatales Signal aussenden: dass nämlich der demokratische Wechsel kaum noch funktioniert. Hat es Merkel so weit gebracht, muss sie außerdem sicherstellen, dass der demokratische Wechsel innerhalb ihrer Partei noch funktioniert. Das heißt, sie muss daran arbeiten, eine Nachfolgerin oder einen Nachfolger aufzubauen, der sie spätestens 2021 als Kanzlerin oder Kanzler und an der Parteispitze ablöst. http://www.zeit.de/politik/deutschland/2016-11/angela-merkel-wahlkampf-bundestagswahl-2017/komplettansicht |
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